Témoignages en vidéos
Enquête : « Les gays, la prévention… ET MOI ? »
Les internautes étaient également invités à réagir à la vidéo en répondant anonymement à une enquête en ligne. Elle leur permettait en quelques questions de témoigner de leur prévention, de leurs observations sur la prévention chez les gays, de leurs besoins et de leurs attentes...
> Le compte-rendu sera publié très prochainement.
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L'analyse d'Annie Velter, socio-démographe à l’InVS, sur la vraie prévention des gays
Annie Velter est socio-démographe à l’InVS (Institut National de Veille Sanitaire). En tant que responsable des enquêtes comportementales auprès des Hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes (HSH), elle apporte son analyse sur le contexte de l'épidémie du Sida aujourd'hui et sur la vraie sexualité des gays et de leurs prises de risques.
IPERGAY : Les gays sont-ils toujours touchés par le VIH en France ?
Annie Velter : Oui, comme dans les autres pays industrialisés, depuis le début de l’épidémie VIH les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes sont très largement touchés. Les données épidémiologiques indiquent que depuis 2003 le nombre de découvertes VIH pour ce type de rapport sexuel de cesse d’augmenter contrairement aux autres modes de contamination. On passe d’environ 1 800 nouveaux diagnostics en 2003 à plus de 2 300 en 2009. Le taux d’incidence indique effectivement une dynamique de l’épidémie toujours très active dans la population gay avec un taux estimé à 1% soit 200 fois plus important que celui observé parmi les personnes infectées par rapport hétérosexuel.
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IPERGAY : Les gays sont-ils toujours touchés par le VIH en France ?
Annie Velter : Oui, comme dans les autres pays industrialisés, depuis le début de l’épidémie VIH les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes sont très largement touchés. Les données épidémiologiques indiquent que depuis 2003 le nombre de découvertes VIH pour ce type de rapport sexuel de cesse d’augmenter contrairement aux autres modes de contamination. On passe d’environ 1 800 nouveaux diagnostics en 2003 à plus de 2 300 en 2009. Le taux d’incidence indique effectivement une dynamique de l’épidémie toujours très active dans la population gay avec un taux estimé à 1% soit 200 fois plus important que celui observé parmi les personnes infectées par rapport hétérosexuel.
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